S'il fallait affubler ce baudet-là d'un masque en lui criant «haro!», ce serait sans doute celui d'Emmanuel Macron ou celui d'Édouard Philippe que choisiraient nombre de ceux qui, au cours de ces cinquante-cinq jours, n'ont cessé de les «tacler» en les accusant d'incompétence, d'incohérence, d'imprévoyance, en leur reprochant de mentir, de tâtonner, de «changer de pied», de jouer avec, comme ils disent aujourd'hui dans le poste, des «trous dans la raquette», de... de... mais on n'en finirait pas.
Moi, ces deux-là, plus on les critique, plus ils me sont sympathiques.
D'ailleurs, devant un événement d'une pareille ampleur, j'ai tendance à penser que la moindre critique frise l'indécence.
Cela dit, voici un petit carrousel de quelques facéties auxquelles je me suis livré pendant cette «confination» .
Régis Hure d'Argus